Je venais juste d'intégrer une grande école, et la semaine de bizutage commença. Chaque bizu dut, pendant la semaine, être au service d'un élevé de dernière année, l'attribution étant faite par tirage au sort.

La chance me sourie, je reçu une superbe fille comme mentor, et c'est avec un vrai plaisir que je portais ses affaires, l'aider à faire ses courses etc. Catherine, donc, était une fille de la bourgeoisie avec des moyens financiers importants et elle me traîna dans des magasins très chics.

Le samedi , la semaine se terminait par une soirée costumée sur le thème de l'esclavage passé présent et futur

On va prendre le futur me dis Catherine et ne t'inquiètes pas j'ai tous ce qu'il faut, ce sera une surprise pour toi

Un peu intrigué, j'arrive devant chez elle à l'heure dite et je la vois, moulée dans une combinaison de cuir, des bottes montantes aux pieds, une vraie beauté

Viens tu as vu le costume de la "maîtresse", tu vas pouvoir enfiler le tiens

Elle me tend un sac dans lequel je découvre une combinaison en latex

Ils seront comme ça les esclaves du futur dit elle en voyant ma tête

Je commence à essayer de passer cette combinaison pardessus mes vêtements Mais non dit elle tu dois être nu sous la combi.

Un peu gêné, mais secrètement ravi, je fais comme elle dit, le contact du latex sur ma peau me donne des petit frissons

Tu apprécie apparemment dit elle en riant, mais attends, il y a des accessoires en plus et elle sort du placard un collier une laisse et une paire de menottes.

Oui tu vas être mon esclave jusqu'à l'aube dit elle en me passant le collier autour du coup et les menottes aux poignets. Nous sommes prêt, montes dans la voiture

Arrivés sur le campus, nous voyons pleins de romains, des bagnards avec des policiers, des élèves grimés en africains etc. Beaucoup de garçons regardèrent Catherine me tirer en laisse, j'aimerais bien être à ta place me dit-on plusieurs fois. Quelques copines à Catherine demandent la permission de toucher mon habits hum c'est bon des caresses a travers le latex. Pendant toute la soirée je gardais les menottes aux poignets et j'avoue que ça ne me déplaisait pas. Au moment de partir, elle sortit une clef de sa poche pour m'enlever les menottes je croyais, mais non elle me les reposa mains dans le dos avec un petit sourire.

Tu sembles avoir apprécié me dit elle dans la voiture, si tu acceptes d'être mon esclave toute l'année tu pourras être très souvent comme ça, on peut commencer dés ce soir

Sans réfléchir, je lui dis oui

Oui maîtresse, tu vas apprendre la politesse elle me tira par la laisse dans une pièce vide de la maison, m'accrocha bras en l'air grêce au menottes et commença à me mettre une bonne fessées

A mon grand étonnement cela me fit bander

Ah voila un bon esclave qui apprécie les corrections.

SUITE UN AUTRE JOUR SI VOUS LE SOUHAITEZ